Dimanche, nous avons été au concert d’Ana Carla Maza qui nous a fait découvrir son jazz Cubain.
Une soirée qui donne la pêche !
Nos places en main, nous nous sommes rendus à la Maison de la Musique et de la Danse de Bagneux, pour découvrir une artiste féminine de Jazz.
Un peu comme pour Macha Gharibian ou encore Joey Alexander, nous avions envie de voyager dans les tonalités d’autres pays…vers d’autres cultures, au travers de la musique Jazz.

C’est parti pour 2h de concert !
Et pour commencer, Ana Carla Maza a laissé une place d’une trentaine de minutes à un groupe intitulé “Lavender Walk“, composé de
- Thomas Gaucher à la guitare
- Christelle Raquillet à la flûte, voix
- Cyril Drapé à la contrebasse

A la fois doux, drapé et rythmé, le trio nous a emporté gentiment, avec les cordes et le souffle, vers Bahia, le nouvel album d’Ana Carla Maza.
Une dizaine de titres inédits
L’artiste est clairement pétillante et radieuse !
Elle a su parfaitement emmener son public avec elle, avec ce petit grain de folie que l’on trouve que chez quelques artistes de jazz.
Accompagnée au piano par Roger Mas; à la batterie par Marc Ayza et aux percussions cubaines par Luis Guerra.



Du Reggae au Tango, Ana Carla Maza nous fait voyager
Comme elle l’a si bien dit entre deux chansons, son répertoire passe de la joie, à l’amour et à la mort. Tout ceci de façon harmonieuse avec un seul objectif : nous emmener avec elle en Amérique Latine !
Pari réussi, puisque dans la même soirée nous sommes passés, grâce à ses chansons, du Pérou à la Cordillère des Andes ou encore à Cuba.
Si vous souhaitez partir le temps d’un concert, c’est Ana Carla Maza qu’il vous faut découvrir !
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